top of page
Rechercher
  • Photo du rédacteurGéraldine Ninove

Le grand enseignement du confinement : et si c'était le moment de se mettre à cuisiner?

Dernière mise à jour : 23 juin 2021

La crise sanitaire qui nous touche depuis plus d'un an et une opportunité pour se remettre en question, se recentrer sur notre santé et notre bien-être.



Comme en atteste cette caricature de génie, la fermeture des restaurants nous a (re)mis au fourneau et donc à l'essentiel car si une chose est bien essentielle, c'est manger. Cela fait des années que j'essaie de passionner les gens pour la cuisine et je vous explique pourquoi.


Aujourd’hui, dans toutes médecines, orientales ou occidentales, il y a un point commun : bien manger est reconnu comme important pour la santé. Encore faut-il définir ce qu'est "bien manger". Le commun des mortels s'accordera sur le fait que manger de la junkfood (Mac Do, frites, hamburgers...), boire des sodas et trop d'alcool est mauvais pour la santé. On est envahi de campagnes publicitaires afin de manger 5 fruits et légumes par jours mais qu'en est-il vraiment? Si j'ai pu me rendre compte de quelques choses de fondamentales c'est qu'une personne n'est pas l'autre, que les régimes alimentaires doivent être adaptés en fonction de notre organisme personnel et qu' en Occident, à l’heure de l’industrialisation de l’alimentation, il vaut mieux savoir cuisiner et choisir ses produits.


Pourquoi faire tant attention à ce que l'on mange ? Parce que la santé de notre intestin et donc ce que l'on mange influence notre santé mentale et tout notre organisme. Certains scientifiques vont jusqu'à considérer notre intestin comme notre 2e cerveau[1] et ont découvert que les bactéries qui y habitent par centaines de milliards sont fondamentales pour notre santé.

Il y a deux choses qui perturbent nos bonnes bactéries : l'alimentation et les antibiotiques. D'une part, notre alimentation a beaucoup changé depuis 50 ans : elle consiste en plus de viande, moins de fibres, plus de féculents difficile à digérer pour les bactéries qui n'ont pas eu le temps de s'adapter à ce changement d'alimentation. D'autre part, les antibiotiques donnés aux gens dans les pays industrialisés tuent les bactéries, les mauvaises responsables de notre maladie mais aussi les bonnes vitales à notre santé. Les antibiotiques donnés aussi aux animaux d'élevage se retrouvent dans notre organisme lorsqu'on les mange. D'où le fait qu'actuellement, on recommande de manger moins de viande. En conséquence, les médecins commencent à prendre conscience que l'industrialisation est responsable de pas mal de problèmes de santé et peut entraîner le diabète, des allergies, un surpoids, des problèmes hormonaux, la sclérose en plaque, des maladies auto immunitaires, cardiaques ...

Ce qui est également intéressant de constater c'est qu'il y a différents types de macrobiotes en fonction des gens ce qui expliquerait que certaines nourritures soient plus adaptées à certaines personnes que d'autres tout comme l'Ayurveda, médecine yogique sans le prouver scientifiquement l'avait déjà compris de manière instinctive.

En Ayurveda, rappelons-le, l'alimentation est un aspect fondamental de la santé avec les régimes alimentaires spécifiques en fonction des trois doshas (Kapha, Pita, Vata) mais aussi avec l'attention portée sur l'agni (le feu digestif) et les malas (les déchets). La mauvaise santé débute par un déséquilibre d'un des doshas. D'abord il est "irrité" puis s'il n'est pas pacifié, il augmente jusqu'à devenir "élevé'" et déclencher une maladie. L’accumulation d'ama (toxines), la mauvaise évacuation des malas et la faiblesse de l'agni contribuent aussi à la mauvaise santé.

En Ayurveda, on va jusqu'à établir 9 catégories d'individus devant chacun manger de manière spécifique en fonction de leur constitution physique et psychique. C'est la même logique que ce que nous explique les découvertes scientifiques récentes sur les différents types de bactéries qui nous habitent. Certaines personnes devront manger tel ou tel aliments plutôt que d'autres. A l'aide d'un test, nous pouvons déterminer notre constitution. Lorsque nos doshas sont déséquilibrés et que les problèmes de santé apparaissent, nous avons la possibilité de les rééquilibrer par des régimes alimentaires particuliers. Par la nourriture et l'alimentation nous pouvons rétablir nos désordres physiques mais aussi psychologiques.


En 2009, je créais mon blog : "Géraldine en Cuisine" pour partager mes recettes dans l'espoir d'éveiller des passions pour la cuisine. A présent, je vais plus loin et vous propose un service complet de A à Z pour vous aider à vous mettre au fourneau, des meubles aux ustensiles en passant par l'assiette.


Des meubles aux ustensiles

Pour cuisiner il faut commencer par avoir l’infrastructure nécessaire et avoir une cuisine agréable et bien agencée avec le bon matériel va augmenter notre motivation à cuisiner. Il n’est pas toujours utile de dépenser des sommes folles pour acheter une nouvelle cuisine. Parfois quelques réparations, un nouvel agencement et un coup de peinture suffit à redonner une nouvelle vie à votre cuisine. C’est là où j’interviens ! Je vous propose de venir chez vous pour établir un plan de rénovation de votre cuisine, vous faire une proposition pour en faire en cadre agréable et voir le matériel dont vous avez besoin pour vous lancer en cuisine. Du design à la mise en œuvre, j’interviens là où vous le souhaitez.


Le choix des bons produits

Maintenant que votre cuisine vous plait, il est temps de choisir les bons produits. En 2 mots : bio et local. Je fais le point sur les alternatives qui se présentent à vous en fonction de votre budget.


En conclusion, je vous aide à vous y mettre ! Convaincu qu'il est important de cuisiner ?

Contactez-moi par téléphone ou via le formulaire de contact de mon site, je peux vous aider !

Pour me contacter, cliquer ICI

[1]Vidéo : "L'intestin : notre deuxième cerveau? La conférence de Gabril Perlemuter", 25 mars 2017 Documentaire de Cécile Denjean "Le Ventre, notre deuxième cerveau", document ARTE, 2014





30 vues0 commentaire

Posts récents

Voir tout
bottom of page